Evénements à venir en mai
♦Commémoration de la victoire du 8 mai 1945
La cérémonie, comme les années précédentes, débutera par le rassemblement dès 11h dans la cour de la mairie pour partir en cortège derrière les drapeaux vers le monuments aux morts.
♦Marche et repas champêtre
Les Amis du Rhône organisent le 26 mai une journée champêtre. Celle-ci débutera dès 9 heures du matin par une marche au départ du lac pour se conclure par un repas à 12h au lac ( ou foyer si mauvais temps). L'après-midi se poursuivra par un concours de pétanque et/ou belote.
Inscription jusqu'au 22 mai auprès de :
- J.Y. Desfougères au 06.21.87.47.68
- A. Still au 06.79.39.95.16
- J. Tavan au 04.66.90.17.98
♦Association Elyna, le 3 juin

Le point sur la saga locale
Point de vue de madame Dubout
Après deux ans et demi de contentieux, de recours à la justice, puis à l’autorité administrative, la situation est dans l’attente d’une décision préfectorale faisant suite à l’enquête publique de juin 2017, défavorable , au bienfondé d'une décision d'utilité publique.
Dans l’attente de cette décision administrative, Madame Dubout est bien consciente que cette dernière fera force de loi, et qu’elle devra s’y soumettre comme tout citoyen. Elle est lucide que le seul recours possible de sa part ne peut se faire que sur le montant de l’indemnisation envisagée.
Le coût de cette démarche municipale pour acquérir le chemin des Piboulières est peu évoqué par l’équipe à la commande de la commune. Aux 300€ d’indemnisation suite au déboutage de la saisine judicaire, s’ajoutent les honoraires d’avocat et la rémunération du commissaire lors de l’enquête d’utilité publique. A cela, s’ajoutera naturellement le montant de l’indemnisation de l’expropriation. Le coût, donc, pour les Codolétiens ne sera pas anodin et cette affaire en cours de résolution a tout simplement engendré et renforcé une toute autre demande de madame Dubout qui elle, risque de peser plus lourdement sur la facture finale.
En effet le projet d’acquisition du chemin par la commune avait fait émettre par la dite propriétaire, tout simplement en contrepartie, le souhait d’être raccordée aux réseaux d’eau potable et usée. Proposition rejetée par le premier magistrat justifiant son refus par le coût engendré.



